C’est un sujet dont on me parle souvent sur le terrain, encore récemment à Ruoms et Joyeuse.
Au cours de ces dernières années, différents textes de loi se traduisent par la remise en cause de droits historiques sur l’usage des eaux, voire l’existence même de certains barrages.
L’application de ces textes particulièrement dure en Ardèche, se traduit parfois, par des mesures incompréhensibles, avec l’arasement et la destruction de certains barrages, pourtant utilisés à titre historique par les populations, à usage économique ou personnel.
Aussi, je soutiens la nécessité de pouvoir défendre ces droits et accompagner la valorisation de ce patrimoine qui fait une grande partie de l’histoire de l’Ardèche et la relation à l’eau de ces habitants.