J’ai interpelé le Premier ministre dans l’hémicycle qui n’a pas daigné me répondre, m’envoyant sa Ministre de la Santé qui ne m’a pas totalement rassuré. Selon l’adage populaire, un homme averti en vaut deux. J’aurai été clair : le risque de déremboursement des cures thermales est pour moi véritable casus belli. Position renforcée par sa déclaration aujourd’hui évoquant la nécessité, je cite «de réformes, dont certaines pourront être prises par décret après concertation». Quand c’est flou, il y a un loup.