La question n’est pas de savoir si l’on croit aux vertus de la liberté d’entreprendre et de commercer, mais d’en connaître le prix à payer. On ne peut pas sacrifier sur l’autel du libre-échange notre agriculture, la sécurité alimentaire des Français et la souveraineté alimentaire de notre pays.

Défendre les intérêts de nos filières agricoles, c’est protéger la santé des consommateurs Français. Paysans, consommateurs, même combat !

Voilà pourquoi je vote contre le CETA, comme je m’oppose au Mercosur.

Fabrice Brun, député de l’Ardèche.

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