Ardèche – Première cérémonie de voeux pour Fabrice Brun
C’est un espace Lienhart rarement aussi plein qui a assisté aux premier voeux de Fabrice Brun en tant que député jeudi soir. 1000 personnes présentes, élus, monde associatif, citoyen, la 3ème circo était présente.
Fabrice Brun a retracé les actions qu’il a mené depuis son élection, au premier rang desquelles le maintien du guichet SNCF d’Aubenas, combat mené avec Jean-Pierre Constant et gagné il y a peu. il annonçait également le vote à l’Assemblée mardi 30 janvier de la proposition de loi sur l’eau et l’assainissement permettant « aux communes et syndicats des eaux de garder la main sur la gestion locale de ce bien précieux« , un combat mené avec les sénateurs Darnaud et Genest.
Et rappelait qu’il a voté sans état d’âme la loi hydrocarbures proposé par le gouvernement qui interdit toute recherche, exploration et exploitation du gaz de schiste.
Prochain dossier à défendre l’hôpital d’Aubenas. après une rencontre à Paris avec le nouveau directeur de l’ARS Auvergne Rhône Alpes, Fabrice Brun annonçait sa venue à Aubenas le 8 février, pour « une visite détaillé de l’hôpital« , pour lui « redire le rôle pivot, l’injustice que représente le périmètre du GHT« .
Au chapitre des grands projets, il annonçait vouloir « remettre sur les rails la modernisation de la RN 102 en 2018 » et appelait sur ce dossier à l’union sacrée des responsables politiques de tous bords : « notre action doit être partagée, concertée et sur le long terme. L’intérêt supérieur du territoire doit commander sur les clivages partisans« .
Tout en mentionnant les difficultés auxquelles l’Ardèche fait face, le député se voulait résolument optimiste : « nous avons aussi des atouts extraordinaires« , entre l’agriculture, le tourisme, le maillage de dense des PME… L’Ardèche de demain, il la voit comme « une green vallée« , « le berceau ou le lieu d’inspiration de start-up dans le domaine du tourisme, de l’agro-alimentaire ou de l’environnement« . « La ruralité est une chance, reprenons confiance » demandait-il à l’assemblée.
Il concluait en redisant l’envie qu’il a de vivre « un mandat utile pour [son] pays, utile pour [son] territoire », dans une opposition libre et vigilante« . « Je suis libre, chaque fois qu’un texte va dans le sens de mon pays, dans le sens de nos territoires, je le vote sans états d’âme. Mon obsession, ce n’est pas la prochaine élection, c’est la prochaine génération« .