Sur les urgences et la permanence de soins, la fatalité n’existe pas, il s’agit avant tout de volonté politique. Pour former vraiment plus de médecins pour l’avenir. Pour réguler et réquisitionner des professionnels de santé dans l’immédiat. Avec une attention particulière pour les hôpitaux comme Aubenas, éloignés des CHU et des grandes agglomérations. Il y a urgence, stop au bricolage et aux mesurettes. L’Etat doit assumer sa compétence régalienne : soigner les ardéchois et les français en tous points du territoire, alors que notre pays n’a jamais consacré autant de moyens à la santé.
Fabrice Brun, député de l’Ardèche.