Le ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, vient de promettre qu’il n’y aurait pas de fermeture de classes en zone rurale à la rentrée dans le premier degré sans l’accord du maire.
Je resterai bien entendu vigilant aux côtes des élus locaux et des parents d’élèves, car comme le veut l’adage populaire : « les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent ».
Mais cette annonce donne un relief tout particulier à mon intervention du 26 mars dernier où, fidèle à mon habitude, je n’emploie pas la langue de bois .
Fabrice BRUN, député de l’Ardèche.