J’en étais resté au refus de toute coalition défini collégialemment cet été, avec un travail texte par texte à l’assemblée sur la base d’un pacte législatif priorisant travail et autorité à tous les étages. Une position qui m’allait bien.
Un casting ne faisant pas une ligne politique, avant de parler de postes ministériels, il me semble qu’il faut se mettre d’accord sur des priorités d’action : le pouvoir d’achat, la sécurité mais aussi la ruralité, la santé, l’éducation.
Avec de questions concrètes comme sur la proportionnelle, où je suis contre car ce serait la fin de l’ancrage au terrain des députés. Comme sur les retraites, où je continue de plaider pour un départ en retraite plus tôt pour ceux qui ont commencé à travailler jeunes.
Je jugerai donc sur pièce. Pas question pour autant de sanctionner d’emblée le gouvernement, cela n’aurait pas de sens. Je suis dans l’opposition mais pas dans le blocage. Tout en conservant la liberté de vote qu’on me connaît, une forme d’indépendance chère aux Ardéchois qui me disent tous les jours sur le terrain qu’il y a de bonnes idées partout.